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Retour sur le #MorningBy – « Osons notre vocation, pour contribuer de manière unique à un monde meilleur »

#MorningBy : Osons notre vocation, pour contribuer de manière unique à un monde meilleur

Nous avons eu le plaisir d'accueillir : Jean Watin-Augouard

Vocatiologue, Auteur de livres sur les histoires de Marque et leurs créateurs dont le premier Dictionnaire des Marques.

Échanges et partages autour de son dernier livre “OSONS NOTRE VOCATION !

Osons notre vocation, pour contribuer de manière unique à un monde meilleur

La vocation est un enjeu personnel (res personna), un enjeu de société (res publica) et un enjeu universel (res universa), sans laquelle il n’est impossible de vivre ensemble harmonieux au sein de la cité.

Pour quoi, pourquoi et comment accomplir pleinement sa vocation ? Pour les entreprises, à l’heure de la RSE et de loi Pacte, définir, redéfinir sa vocation s’impose aussi comme un enjeu majeur.

Raison d’être, raison d’y être et d’en être, tous se mêlent et s'interpellent ! Trouver, retrouver son engagement et les raisons de celui-ci devrait, pour chacun d’entre nous, être une source intarissable de sens.

A travers les grandes lignes de son dernier ouvrage livre “OSONS NOTRE VOCATION !”, Jean nous a permis de prendre du recul sur un sujet qui, dans cette période actuelle, pourrait nous permettre de mieux envisager le monde d’après avec davantage de sérénité.

« La vocation, mot longtemps suranné, associé jadis à des archétypes (prêtre, militaire, médecin, artiste…), sort de l’ombre.

Elle vient singulariser chaque être humain, « appelé » (vocare) à contribuer à un monde meilleur par sa raison d’être.
Elle est tout autant une évidence qu’un mystère. Evidence par la diversité des témoignages de personnes passées de la souffrance de ne pas la découvrir à l’émerveillement de pouvoir l’accomplir.
Mystère quant à son origine (Dieu, les ondes…), et le moment de son déclenchement. Tel un coup de foudre, elle se révèle si on sait l’attendre, être en veille pour l’accueillir. Les lieux, occasions sont nombreux : la famille, l’école, la maladie, les crises, les rencontres, les expériences.
S’il n’y a pas d’âge pour la trouver, le plus tôt possible est le mieux afin d’éviter la crise de la quarantaine, quand on découvre alors que l’on s’est trompé de voie. La crise sanitaire appelle non seulement un discours de vérité des entreprises, révélateur de leur vocation mais aussi un discours de vérité des salariés. Quel sens le salarié donne-t-il à son métier en fonction de sa vocation ?
Quel sens l’entreprise donne-t-elle à son activité en fonction de sa vocation ?
Raison d’être de l’entreprise, raison d’en être des salariés, ou comment conjuguer la vocation de l’une avec celle des autres ?
 »

Jean Watin-Augouard